Les défis et les opportunités de la diversification économique en Afrique centrale seront au cœur d’un webinaire, ce 29 mai 2020, à Yaoundé au Cameroun.
Cette activité organisée par le Bureau sous-régional pour l’Afrique centrale de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) sera axée sur le thème : « Bâtir les compétences pour la diversification économique en Afrique centrale : défis et opportunités ».
Elle se veut la première d’une série de réunions interactives, en prélude à la 36ème session du Comité intergouvernemental des hauts fonctionnaires et des experts (CIE), pour l’Afrique centrale. Laquelle se tiendra cette année, à Yaoundé au Cameroun, sous le thème : « Bâtir les compétences pour la diversification économique en Afrique centrale ».
Le but visé par ce webinaire du 29 mai 2020 ‘’est de permettre aux principales parties prenantes de partager leurs idées sur les défis et les opportunités de la sous-région en matière de développement des compétences pour la diversification économique et d’identifier les questions saillantes à inscrire à l’ordre du jour de la 36ème session du CIE’’.
De manière spécifique, il vise quatre objectifs. Le premier consiste à susciter l’intérêt des principaux acteurs sur l’orientation centrale de de la 36ème session du CIE. Le deuxième est relatif au recensement des commentaires sur le thème général de la prochaine session du CIE, et de recueillir davantage d’idées sur la façon de rendre la session plus productive et bénéfique pour les pays d’Afrique centrale.
Pour le troisième objectif, il s’agit de recevoir les contributions pertinentes qui permettraient d’enrichir le document de base de la prochaine session du CIE, tandis le dernier devrait permettre de susciter les partenariats bénéfiques pour le développement des compétences, en vue de la diversification économique en Afrique centrale.
Par rappel, ‘’cette session s’inscrit dans la continuité des débats des trois derniers CIE consacrés au rôle central de l’industrialisation et de la diversification en Afrique centrale, et dont le Consensus de Douala de septembre 2017, constitue une étape majeure’’.