Certains cadors de la classe politique gabonaise ne font plus mystère de leur animosité contre la politique d’inclusion et partant, le nouveau projet de constitution initié par le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema. Pourtant, depuis son accession au pouvoir, l’homme n’a de cesse multiplié des gestes d’ouverture à l’endroit de toute la classe politique nationale et la société civile.
A preuve, quelques jours seulement après avoir renversé le régime d’Ali Bongo, Brice Clotaire Oligui Nguema a surpris le professeur Albert Ondo Ossa par une visite inattendue. Ce geste, empreint de la grandeur et des traditions africaines, symbolisait une volonté sincère de réconciliation, où le cadet se soumet à l’aîné malgré les différends. Ondo Ossa, qui avait jusque-là refusé de répondre aux invitations de dialogue, se retrouva face à un acte de respect et de paix initié par le nouveau leader du Gabon. Oligui Nguema, en transcendant les tensions électorales et les divisions politiques, démontrait une fois de plus sa stature de leader rassembleur, prêt à unir une nation fragmentée.
Cependant, malgré cette ouverture, Ondo Ossa resta figé dans son opposition, refusant de reconnaître les efforts de conciliation. L’histoire se répéta quelques semaines plus tard, le 27 septembre, lors d’une rencontre cruciale au Palais présidentiel. Alors que la nation attendait des pas concrets vers l’unité, des rumeurs de pots-de-vin et de compromissions planèrent sur la figure du candidat consensuel, ternissant son image. Mais le silence qui suivit de la part d’Ondo Ossa n’était que temporaire, car il revint sur le terrain, cette fois avec l’appui de Manganga Mousavou et l’ancien pilier du régime Bongo despotique, Alain-Claude Bilie-By-Nze, pour tenter de discréditer la nouvelle direction du pays.
Leur cible commune aujourd’hui ? La nouvelle constitution, dont le référendum approche à grands pas. Ils s’apprêtent à mener une campagne pour le « NON », cherchant à saper les réformes initiées par Oligui Nguema. Mais, face aux transformations palpables que le président a apportées, leur croisade semble vouée à l’échec. Bilie-By-Nze, lourdement accusé de crimes économiques et de sa complicité dans les abus du clan Bongo, n’a aucune légitimité pour prétendre défendre les intérêts du peuple gabonais. Quant à Ondo Ossa, malgré son passé de candidat consensuel, son discours paraît désormais déconnecté de la réalité actuelle du Gabon.
Le peuple gabonais voit en Oligui Nguema un libérateur, celui qui a redonné espoir à une nation longtemps asphyxiée par la tyrannie et la corruption. Grâce à des réformes concrètes amélioration des conditions des fonctionnaires, des retraités, et des élèves, sans oublier la construction d’infrastructures vitales, le chef de l’État a su regagner la confiance d’un peuple en quête de changement. Face à ce bilan indéniable, ceux qui prêcheront le « NON » lors du référendum s’adresseront à une audience vide.
Oligui Nguema, respecté et aimé, représente l’avenir d’un Gabon qui se reconstruit. Ses détracteurs, quant à eux, errent dans le désert, incapables de convaincre une population désormais éveillée aux bénéfices tangibles du renouveau politique. Le « OUI » au référendum sera non seulement une approbation des réformes, mais aussi un vote de confiance pour celui qui a su transformer la vie des Gabonais, alors que Bilie-By-Nze et Ondo Ossa n’ont d’autre choix que de constater leur propre impuissance.
Avec le magazine Super star